Dans le monde, par rapport aux hommes et aux garçons, les femmes et les filles sont 84 millions de plus à être confrontées à l’insécurité alimentaire.
Soyons les premier·ères à les soutenir.
Être la première
à nourrir sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première à connaître la faim.
Journée internationale des droits des femmes
Être la première
de sa classe
ne l’empêchera pas d’être la première déscolarisée.
Dans les pays touchés par des conflits, les filles sont 2,5 fois plus susceptibles d’arrêter l’école que les garçons.
Soyons les premier·ères à les soutenir.Journée internationale des droits des femmes
Être la première
à travailler
ne l’empêchera pas d’être la première touchée par la précarité.
75 % des femmes dans les pays en développement travaillent dans l’économie informelle, sans protection sociale.
Soyons les premier·ères à les soutenir.Journée internationale des droits des femmes
Être la première
à protéger sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première exposée lors des crises.
Lors de catastrophes climatiques extrêmes, les femmes et les enfants sont 14 fois plus susceptibles de mourir que les hommes.
Soyons les premier·ères à les soutenir.Journée internationale des droits des femmes
Ensemble, soyons les premier·ères à défendre l’égalité femmes-hommes !
Dans le monde, les filles et les femmes sont les premières victimes des inégalités : déscolarisation, mariage forcé, agression sexuelle… 1 femme sur 3 a déjà subi une forme de violence au cours de sa vie.
À l’occasion du mois de mars marqué par la Journée internationale des droits des femmes, aidons-les à défendre leurs droits et à sortir de la pauvreté et des inégalités.
Accès à l’éducation, accompagnement vers l’indépendance économique, sensibilisation à leurs droits… nous avons besoin de vous pour mener ces actions avec les femmes et les filles : soyons les premier·ères à les soutenir.
CARE France est membre du Don en Confiance, label garantissant rigueur et transparence dans l’utilisation des dons qui nous sont confiés.
Elles sont les premières exposées aux inégalités, soyez les premier·ères à les soutenir par un don.
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du montant de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu.
75%
De réduction
fiscale
Être la première
de sa classe
de sa classe
ne l’empêchera pas d’être la première déscolarisée.
CARE met en place des actions pour offrir une éducation de qualité aux enfants en réhabilitant des écoles, en formant des professeurs, en fournissant du matériel scolaire… Nous sensibilisons aussi contre le travail infantile et les mariages forcés. En allant à l’école, les jeunes filles ont toutes les clés pour construire un avenir meilleur pour elles-mêmes, leur famille et la société tout entière.
2/3des 771 millions
d’analphabètes dans le monde sont des femmes.*
129millions
de filles ne vont pas à l’école.**
*UNESCO, 2022. **UNICEF.
J’ai pensé à me tuer, mais j’ai pu m’enfuir. 
En Éthiopie, Mikre a été mariée à 12 ans à un homme deux fois plus âgé. Avec l’aide de CARE, Mikre a pu retourner à l’école et élève des poulets pour garantir son indépendance économique. Avec nos équipes, elle se bat aujourd’hui contre les mariages forcés dans sa communauté.
Avec un don de
170€soit 42€après réduction fiscale
Vous contribuez par exemple à couvrir les frais de scolarité d’une jeune fille et lui permettez d’avoir son destin en main.
Être la première
à nourrir sa famille
à nourrir sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première à connaître la faim.
Main dans la main avec les femmes, CARE lutte contre la faim de manière globale et durable. Nous les aidons à assurer leur autonomie alimentaire et à démarrer une activité génératrice de revenus en les formant à l’agroécologie, en développant des fermes et des élevages, en valorisant les techniques agricoles résistantes aux conséquences du changement climatique… Une fois formées, elles diffusent leur savoir au sein de toute leur communauté !
0 millions
de personnes souffrent de la faim dans le monde.*
+0millions
Les femmes et les filles sont 84 millions de plus que les hommes et les garçons à souffrir de la faim**.
*Rapport Mondial sur les Crises Alimentaire, 2024. **CARE, 2023.
En tant que femme, on me demandait de rester à la maison.
CARE soutient les femmes, comme Phon au Cambodge, en les formant à l’agriculture et à l’élevage. « Aujourd’hui, je peux soutenir ma famille. Et même si quelque chose arrivait à mon mari, je resterais indépendante. »
Avec un don de
300€soit 75€après réduction fiscale
Vous contribuez par exemple à la mise en place d’une école d’agriculture et de commerce.
Être la première
à travailler
à travailler
ne l’empêchera pas d’être la première touchée par la précarité.
La contribution des femmes à l’économie est incontestable. Elles restent pourtant touchées de manière disproportionnée par la pauvreté et les discriminations. De peur de ne pas être remboursées, nombreuses sont les banques qui refusent de prêter de l’argent aux femmes pour lancer leur entreprise. Il y a 30 ans, CARE a donc créé les Associations Villageoises d’Épargne et de Crédit (AVEC) : des groupes de femmes qui épargnent ensemble des petites sommes. L’argent collecté permet ainsi aux femmes membres d’accéder à des prêts afin de créer leur propre petite entreprise.
1 femme sur 10
vit dans l’extrême pauvreté.*
0%de moins
C’est ce que gagnent les femmes par rapport aux hommes.**
*ONU Femmes, 2024. **Organisation Internationale du Travail, 2022.
Après avoir fui mon mari violent, j’ai reconstruit ma vie.
Mariée de force à 13 ans à un homme violent, Salamatou a rejoint une Associations Villageoises d’Épargne et de Crédit de CARE. Elle a pu créer son petit commerce et se libérer de son mari. Par la suite, elle a aidé plus de 250 000 femmes à suivre son chemin et à gagner leur indépendance.
Avec un don de
170€soit 42€après réduction fiscale
Vous permettez par exemple à une femme de suivre une formation pour démarrer sa petite entreprise et sortir de la précarité.
Être la première
à protéger sa famille
à protéger sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première exposée lors des crises.
Lors des conflits ou des catastrophes naturelles, les femmes doivent participer activement à la paix et au relèvement de leur communauté. CARE les accompagne avec le programme Women Lead in Emergencies (WLIE) pour qu’elles comprennent leurs droits, développent leurs connaissances et renforcent leur confiance en elles. En cas de crise, elles participent aux décisions et à la mise en place d’actions humanitaires qui répondent réellement à leurs besoins.
0%
Dans les conflits, 90 % des victimes sont des civils, dont la grande majorité sont des femmes et des enfants.*
0personnes sur 5
déplacées par les effets du changement climatique sont des femmes et des filles.**
*Nations Unies. **UNICEF, 2021.
Lorsqu’une femme occupe un poste de direction, elle comprend mieux les problèmes rencontrés par les autres femmes.
Halatu a bénéficié du programme Women Lead in Emergencies de CARE dans un camp de réfugiés en Ouganda. Avec un groupe de femmes, elles ont utilisé leur pouvoir collectif pour qu’un point de distribution de nourriture, situé à 10 km, soit rapproché du camp afin de réduire les risques d’agressions lors des trajets. Halatu ambitionne désormais de devenir la présidente du Conseil de protection des réfugiés du camp, rôle habituellement occupé par des hommes.
Avec un don de
65€soit 16€après réduction fiscale
Vous contribuez par exemple à l’intégration d’une femme au programme Women Lead in Emergencies.
Être la première
de sa classe
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ne l’empêchera pas d’être la première déscolarisée.
CARE met en place des actions pour offrir une éducation de qualité aux enfants en réhabilitant des écoles, en formant des professeurs, en fournissant du matériel scolaire… Nous sensibilisons aussi contre le travail infantile et les mariages forcés. En allant à l’école, les jeunes filles ont toutes les clés pour construire un avenir meilleur pour elles-mêmes, leur famille et la société tout entière.
2/3des 771 millions
d’analphabètes dans le monde sont des femmes.*
129millions
de filles ne vont pas à l’école.**
*UNESCO, 2022. **UNICEF.
J’ai pensé à me tuer, mais j’ai pu m’enfuir.
En Éthiopie, Mikre a été mariée à 12 ans à un homme deux fois plus âgé. Avec l’aide de CARE, Mikre a pu retourner à l’école et élève des poulets pour garantir son indépendance économique. Avec nos équipes, elle se bat aujourd’hui contre les mariages forcés dans sa communauté.
Avec un don de
170€soit 42€après réduction fiscale
Vous contribuez par exemple à couvrir les frais de scolarité d’une jeune fille et lui permettez d’avoir son destin en main.
Être la première
à nourrir sa famille
à nourrir sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première à connaître la faim.
Main dans la main avec les femmes, CARE lutte contre la faim de manière globale et durable. Nous les aidons à assurer leur autonomie alimentaire et à démarrer une activité génératrice de revenus en les formant à l’agroécologie, en développant des fermes et des élevages, en valorisant les techniques agricoles résistantes aux conséquences du changement climatique… Une fois formées, elles diffusent leur savoir au sein de toute leur communauté !
282 millions
de personnes souffrent de la faim dans le monde.*
+84millions
Les femmes et les filles sont 84 millions de plus que les hommes et les garçons à souffrir de la faim**.
*Rapport Mondial sur les Crises Alimentaire, 2024. **CARE, 2023.
En tant que femme, on me demandait de rester à la maison.
CARE soutient les femmes, comme Phon au Cambodge, en les formant à l’agriculture et à l’élevage. « Aujourd’hui, je peux soutenir ma famille. Et même si quelque chose arrivait à mon mari, je resterais indépendante. »
Avec un don de
300€soit 75€après réduction fiscale
Vous contribuez par exemple à la mise en place d’une école d’agriculture et de commerce.
Être la première
à travailler
à travailler
ne l’empêchera pas d’être la première touchée par la précarité.
La contribution des femmes à l’économie est incontestable. Elles restent pourtant touchées de manière disproportionnée par la pauvreté et les discriminations. De peur de ne pas être remboursées, nombreuses sont les banques qui refusent de prêter de l’argent aux femmes pour lancer leur entreprise. Il y a 30 ans, CARE a donc créé les Associations Villageoises d’Épargne et de Crédit (AVEC) : des groupes de femmes qui épargnent ensemble des petites sommes. L’argent collecté permet ainsi aux femmes membres d’accéder à des prêts afin de créer leur propre petite entreprise.
1 femme sur 10
vit dans l’extrême pauvreté.*
20%de moins
C’est ce que gagnent les femmes par rapport aux hommes.**
*ONU Femmes, 2024. **Organisation Internationale du Travail, 2022.
Après avoir fui mon mari violent, j’ai reconstruit ma vie.
Mariée de force à 13 ans à un homme violent, Salamatou a rejoint une Associations Villageoises d’Épargne et de Crédit de CARE. Elle a pu créer son petit commerce et se libérer de son mari. Par la suite, elle a aidé plus de 250 000 femmes à suivre son chemin et à gagner leur indépendance.
Avec un don de
170€soit 42€après réduction fiscale
Vous permettez par exemple à une femme de suivre une formation pour démarrer sa petite entreprise et sortir de la précarité.
Être la première
à protéger sa famille
à protéger sa famille
ne l’empêchera pas d’être la première exposée lors des crises.
Lors des conflits ou des catastrophes naturelles, les femmes doivent participer activement à la paix et au relèvement de leur communauté. CARE les accompagne avec le programme Women Lead in Emergencies (WLIE) pour qu’elles comprennent leurs droits, développent leurs connaissances et renforcent leur confiance en elles. En cas de crise, elles participent aux décisions et à la mise en place d’actions humanitaires qui répondent réellement à leurs besoins.
90%
Dans les conflits, 90 % des victimes sont des civils, dont la grande majorité sont des femmes et des enfants.*
4personnes sur 5
déplacées par les effets du changement climatique sont des femmes et des filles.**
*Nations Unies. **UNICEF, 2021.
Lorsqu’une femme occupe un poste de direction, elle comprend mieux les problèmes rencontrés par les autres femmes.
Halatu a bénéficié du programme Women Lead in Emergencies de CARE dans un camp de réfugiés en Ouganda. Avec un groupe de femmes, elles ont utilisé leur pouvoir collectif pour qu’un point de distribution de nourriture, situé à 10 km, soit rapproché du camp afin de réduire les risques d’agressions lors des trajets. Halatu ambitionne désormais de devenir la présidente du Conseil de protection des réfugiés du camp, rôle habituellement occupé par des hommes.
Avec un don de
65€soit 16€après réduction fiscale
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